sábado, 2 de julio de 2011

Daloa

Je vois le soir, de retour du service,

comme dans toute ville le long de la route,

de très belles demoiselles qui mettent en déroute

des armées de désemparés. Ces éternels candidats au vice


fouillent dans les 2 œillets et les 10 autres trous sucent,

ils pressent leurs « étoiles » et en sortent le jus sans joute.

Chers amis, coagulez donc votre maudit lait prévu pour toutes !

Pensez à avoir en famille quelques gosses et qu’en paix ils poussent.


Leur lieu de service ne saurait contenir leurs généreux attributs.

C’est pourquoi, aller chercher dans Daloa est tout leur but.

En bonne santé ou égrotantes, elles mijotent leur coup.


À les voir, ô pitié !, j’ai le bon cœur brave, quel bonheur !,

les désirs morts et surtout l’amour vraiment en pleurs.
Eux, des Don Quichotte face au lion sans férir coup.

No hay comentarios:

Publicar un comentario